Ce que vous écoutez à l'instant même

Wow ça fait tôt !

Bah je sais pas alors... je finis à 17h et j'ai pas de loyen de mocomotion. Mais je dois veiller sur mon père qu'est malade à mort (il s'est pris une piqure de morphine ce matin...) et ma mère est pas là ce soir. Donc c'est mort je pense. J'observerais la foule d'un concert sur DVD...

ma daronne m'emmène à 15h

Bon concert les mecques !

okay, no problem !

on se voit demain, et tu me dis si t'es chaud pour moka aux clayes sous bois.

Ok, normalement ce sera bon demain.

J'écoute le myspace de Moka... surkiffant !!

(et le groupe dont ils vont faire la première partie, The Sugar Plum Fairy Pr., a l'air très bon aussi dans un autre genre)

yép, ca va péter ce soir !

on se voit à la répét' de toute façon.

ou pas

J'étais chez le coupeur de veuch.

yeah, le Néo-Beuh-Fah' !

Mais en fait c'est ni bien ni moche ni court. Juste plus court que d'habitude quand je les fais égaliser.


Et Moka c'était trop gé-nial quoi, arrivée trop en retard après gros détour, dernières chansons et seconde partie horripilante. Puis soirée ERASMUS bien fun (on s'impose ! mets zbeul ! Hamid !)
Et Paulo qui a failli se tapper une moche, ahah.
Et Cess qui s'est fait coller par un Italien qui se faisait passer pour un Espagnol. Elle a quand même trouvé 2 amoureux. Meilleur score de la soirée.

(Cess : 2 - ou 3 en comptant Giovanni - ; R1 : 0, peut mieux faire ; Fab : 0, n'a déçu personne)

Ouais, enfin surtout un, en fait. Y'a que Josselin qu'a pris mon numéro. Et même que j'ai reçu un gentil SMS, ce matin .
Finalement c'est plutot chouette d'etre célibataire, on peut draguer des étudiants en soirée cosmopolite bien arrosée de vin blanc. Fluide.

Eheh.

Sinon j'ai rédigé une observation du concert, avec pas mal d'éléments inventés. Si vous voulez ajouter quelque chose ou que vous vous souvenez d'une anecdote, de personnes ou d'événements (même anodins) n'hésitez pas à m'en faire part. Merci.

Voilà ce que j'ai écrit pour le moment :

Citation :

Catégorisation sociale / Relations intra et externes au groupe.

Mes amis et moi arrivons en retard à un concert. Nous sommes intéressés par la première partie, un groupe mélangeant des influences dub, trip-hop et nu-jazz.

Sur place, nous découvrons la salle et nous plaçons derrière le public déjà présent. C’est ce public que je décide d’observer et son évolution durant le spectacle. A première vue, il s’agit d’un public assez varié et réparti par groupes selon le style vestimentaire et l’âge : j’aperçois un groupe de jeunes entre 15 et 18 ans qu’on pourrait qualifier de « skaters » (t-shirts larges, baggys, chaussures de skateboarding) à la droite de la scène. A gauche, un groupe de filles d’une vingtaine d’années et habillées de manière « roots » (vêtements amples, tissus colorés, bracelets exotiques) semblent regarder la prestation musicale avec attention. D’autres personnes plus solitaires forment les derniers rangs.

Mes amis savent que je suis là pour observer, tandis que le reste du public n’en a pas connaissance et ne me voit pas puisque je suis au fond de la salle.

Une chanson vient tout juste de se terminer. Le public déjà présent applaudit fortement et semble apprécier la prestation. Parmi mon groupe d’amis, certains applaudissent de la même manière alors qu’ils n’ont pas assisté à la prestation de cette chanson. D’autres à ma gauche, plus proches d’une partie vide de la salle, hésitent à applaudir et observent le comportement et les réactions des autres. Un d’entre eux se décide à applaudir et un autre reste figé.

Un nouveau morceau commence alors. Le groupe de musique joue fort et ne fait pas attention au public. Dans ce dernier, certaines filles du premier rang dansent de la même manière, tandis que parmi les « skaters » mâles un tiers seulement danse. Le reste de la salle est figé et observe la prestation. Certains hochent la tête en rythme et d’autres tapent du pied en rythme. Les jeunes, une majorité du public, sont pour la plupart actifs sur la musique alors que les parents présents, qui forment les derniers rangs, sont globalement inactifs.

Une mère surveille ses jeunes filles qui dansent et rigolent sur la musique. Près du bar, certains solitaires à qui la musique ne semble pas plaire se regroupent et commencent à échanger la parole. Mais je n’entends pas les discussions à cause de la musique.

La chanson se termine et l’ensemble du public applaudit encore fortement, sauf certains parents et certains jeunes qui discutaient. Des filles du premier rang crient et un groupe de garçons plus éloignés blague et critique cette attitude féminine.

Le groupe de musique se sent en confiance et apprécie les acclamations. Mais le chanteur annonce la dernière chanson, ce qui provoque le désespoir de la plupart des jeunes. Cela se traduit par plus d’applaudissements mais aussi par des sifflets. Certains bouhent le groupe et un jeune homme lance une pique pleine d’ironie à haute voix.
Le groupe de musique décide alors de continuer. La chanson est en fait une blague du groupe et ne correspond pas du tout au style attendu. Il s’agit d’un détournement de chanson d’amour. Le groupe en profite pour se moquer de lui-même et le public sourit et rigole lorsque le chanteur et les choristes entament leur chant. Certains spectateurs sont exaspérés par le ridicule de la situation et j’entends quelques critiques négatives et des gens à côté de moi montrer leur mécontentement par une attitude figée. Pourtant, l’ensemble du public reprend la chanson et frappe des mains en rythme. A la fin de la chanson, tout le monde semble ravi. Néanmoins, je vois certains jeunes partir et quitter la salle.

Le groupe remercie le public et est encore très applaudi. Puis il s’en va. Les gens en veulent encore et un homme annonce qu’il voudrait les voir jouer encore 45 minutes, ce qui provoque les rires de gens autour de lui.
Le groupe revient, les musiciens échangent leurs instruments et deux d’entre eux s’assoient sur le rebord de la scène et observent le public. La chanson commence, reprise très reggae d’un gros succès, et les jeunes s’excitent. Beaucoup dansent. Mais la danse consiste à bouger et tourner sur soi-même. Les gens ne se mélangent pas, ne se touchent pas. Même les amis dansent les uns à côté des autres sans se mettre ensemble. D’autres, incrédules, observent. Certains voudraient danser mais voient que leur groupe d’amis est statique. Ils se ravisent alors et gesticulent un peu sur place avant de se figer à nouveau.

Parmi mes amis, certains échangent des regards voire des paroles. On apprécie la musique et la compagnie des autres. On ne donne pas vraiment d’importance aux autres personnes présentes. Un de mes amis passe dans les rangs du public et photographie à maintes reprises le groupe sur scène. Personne ne s’en soucie et c’est un électron libre qui circule un peu partout.

La chanson se termine et le groupe est applaudit bien plus qu’auparavant car c’est la fin de la prestation. Cela dure quelques bonnes minutes et le groupe part en remerciant tout le monde. Quand les lumières de la salle sont rallumées, les gens essayent de se reconnaître et se cherchent. Chacun retrouve son groupe et échange ses impressions sur la performance, et aussi des blagues pour détendre l’atmosphère. Les parents retrouvent leurs enfants avant de les ramener en voiture. Je retrouve mon groupe et certains décident de sortir de la salle pour prendre l’air en attendant la seconde partie du concert. Nous sommes les seuls à être déçus car nous avons raté une grosse partie de l’événement. Mon ami photographe sort ses flyers pour un festival et passe de personne en personne pour en remettre et faire sa promotion. Les gens acceptent les prospectus et la salle se vide très vite.

Dehors, beaucoup de personnes restent près de l’entrée et échangent leurs impressions. Mais personne n’échange avec un autre groupe. Chacun reste à sa place. Je retrouve mon groupe d’amis et nous nous éloignons de la salle pour boire et fumer. Nous discutons pour savoir ce que nous allons faire après cela. Au moment de rentrer dans la salle, les autres groupes de personnes reviennent à l’intérieur tandis que nous restons plus longtemps dehors. Chacun est déçu d’être arrivé en retard et nous songeons à partir. Certains individus prennent leur voiture. Nous décidons de retourner dans la salle.

Le second groupe de musique prend place : ils sont deux et se présentent, l’air blasé. La prestation commence, devant une salle qui se vide très rapidement. Il ne reste plus qu’une vingtaine de personnes. Le style musical est torturé, froid et particulier. Des adultes, organisateurs et certains jeunes restent. Nous, de nos côté, n’en pouvons plus et nous partons.

woh, je suis un électron libre !!!


rien à ajouter...

Entre plein de boulot et plein de boulot (à venir) j'ai réussi à faire un nouveau tube. Mais je peux pas l'enregistrer car j'ai plus cubase.

(par contre j'ai 2 versions demos sur mon dictaphones...)

geek les versions dictaphone, ça fait trop authentique !

1er enregistrement, 5 minutes :
http://www.sendspace.com/file/ss37xh

2nd enregistrement, 6 minutes :
http://www.sendspace.com/file/cjn0p6


Work In Progress !

La qualité est pas top et la voix à travailler (c'était les 2ème et 3ème fois que je chantais sur mon morceau v-lui-même pas encore définitif dans ses structures-).

Influence vite fait entre Pavement et les Pixies.

J'espère que vous allez aimer (musique + paroles trouvées ces deux derniers jours).

This song is called: "Gling"

ça le fait pas mal tout ça !

j'suis en train de mixer c'qu'on a enregistré samedi, ça va l'faire

J'ai hâte !

idem, même s'il manque le champs...

It's not easy !

Mais j'y arriverai.


(j'ai bien aimé le commentaire "on dirait Nirvana" juste parce que la basse est bien grunge)

c'était peut-être aussi parce que la guitare phase

J'aimerais bien avoir un son comme ça.

un son à la kurt ?

il jouait comme une merde se mek !

(provocation)